Michel Brulé
... « Macintosh » permet de faire ce travail de synthèse au moment de son chois...
L'introduction de "Macintosh" à B.Y.A. c'est d'abord le moyen de donner libre cours à son inventivité en explorant librement ses hypothèses.
Quand on a pour métier d'extraire de la masse des données contenues dans les sondages, les enseignements qui la résument le mieux, ou ceux qui éclairent le mieux les décisions de nos clients, il est essentiel de pouvoir s'affranchir des contraintes qui compliquent ou interrompent notre travail.
Ces contraintes, ce sont le temps, la complication technique et le coût. "Macintosh" permet de faire ce travail de synthèse au moment de son choix, le met à la portée de tous - c'est-à-dire des "non-informaticiens" - et ce, pour un coût modeste. De surcroît, sa conception même fait qu'on n'hésite pas à changer d'outils d'analyse, lorsqu'il en apparaît de plus performants.
Pour élaborer les données brutes, en faire un graphique, plus éloquent que le meilleur des tableaux et présenter le tout dans un texte de synthèse, "Macintosh" se révèle d'une grande efficacité. Il permet de combler le vide entre le service informatique interne et le client.
Ces derniers en sont d'ailleurs parfois si convaincus, qu'après une ou deux séances de travail en commun, ils décident de s'équiper eux-mêmes d'un "Macintosh" ce qui ouvre de nouvelles perspectives à notre collaboration.