Les artistes de l'édition 2005

Philippe Jaroussky, contre-ténor
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Violoniste de formation, Philippe Jaroussky obtient en 2001 son diplôme au Département de Musique ancienne du Conservatoire National de Région de Paris avec les félicitations du jury. Depuis 1996, il étudie le chant avec Nicole Fallien. En 1999, il chante aux Festivals de Royaumont et Ambronay dans l'oratorio inédit de Scarlatti, Sedecia, recréé avec Il Seminario Musicale et Gérard Lesne (CD Virgin Classics).
Avec La Grande Écurie et la Chambre du Roy dirigée par Jean-Claude Malgoire, il participe en 2000 à la Trilogie Monteverdi (Le Retour d'Ulysse, Le Couronnement de Poppée), chante en 2001 le rôle d'Arbace dans l'opéra de Vivaldi Catone in Utica (CD Dynamics), le Nisi Dominus du même Vivaldi et le Stabat Mater de Pergolèse au Châtelet, puis en 2003 le rôle de Néron dans Agrippina de Haendel au Théâtre des Champs Elysées.
Il collabore régulièrement avec Jean Tubéry et La Fenice, avec lesquels il interprète notamment l'oratorio de Bassani La Morte delusa (CD Opus 111). Avec l'ensemble Matheus dirigé par Jean-Christophe Spinosi, il est unanimement salué dans l'opéra vivaldien La Verità in cimento (CD Opus 111), remporte ensuite un vif succès aux Folles Journées de Nantes 2003 dans le Nisi Dominus de Vivaldi, avant de triompher en Ruggiero dans Orlando furioso au TCE (disque à venir chez Opus 111).
Il est par ailleurs régulièrement sollicité par Gabriel Garrido et son ensemble Elyma (concerts et enregistrements chez K617 du Couronnement de Poppée et de la Selva Morale e Spirituale de Monteverdi ; I Strali d'amore de Cavalli). Son premier disque-récital consacré à Benedetto Ferrari chez Ambroisie a remporté de nombreuses récompenses (Diapason Découverte, Recommandé de Répertoire, Timbre de Platine d'Opéra International, Prix de l'Académie Charles Cros, Grand Prix du Syndicat de la Critique, etc). Son dernier disque, Un Concert pour Mazarin avec La Fenice, vient de sortir sous le label Virgin classics.
Victoire de la Musique 2004 dans la catégorie «Révélations lyriques», Philippe Jaroussky est nominé « artiste lyrique de l'année » pour les victoires de la musique 2005.

 
Fédor Roudine, violoniste
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Fédor Roudine, 12 ans, est né à Moscou dans une famille de musiciens. Son père est le célèbre violoncelliste et chef d'orchestre Alexandre Roudine.
Ce virtuose vit à Paris avec sa mère depuis 1995. Il avait cinq ans lorsqu'il a commencé à apprendre le violon avec Mme Larissa Kolos, professeur au Conservatoire de Paris. Le garçon apprend à jouer à une vitesse phénoménale des pièces pour violon parmi les plus difficiles.
Cet enfant est doté de capacités exceptionnelles : oreille absolue, mains robustes, mémoire parfaite, grande capacité de concentration. Il a déjà obtenu de nombreux prix.

 
Ingrid Perruche, soprane
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Elle entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon où elle obtient un Premier prix de chant mention très bien, puis elle se perfectionne au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris avec Glenn Chambers. Elle remporte les prix : Albert Roussel au Concours International de Mélodie Française du Tryptique, du meilleur espoir féminin au Concours International de Saint Chamont...
Elle a été entre autres rôles, la Comtesse dans Les Noces de Figaro de Mozart (sous la direction de Jean-Claude Malgoiere, Poppée dans Agrippina de Haendel (sous la direction de Jean-Claude Malgoire, aux côtés de Véronique Gens), Zerlina dans Don Giovanni de Mozart à l'Opéra de Saint-Etienne, Mélisande dans Pelléas et Mélisande de Debussy (avec François Leroux et Alexandre Tharaud au piano) au Musée d'Orsay.
Ingrid Perruche se produit également en concert : Mélodies françaises au Japon et à l'Opéra de Lyon, Romances à la Grande Bibliothèque de France avec le claveciniste Olivier Baumont, La Création de Haydn, les Passions de Bach, le Requiem de Faure, le Requiem de Mozart...
Elle reçoit une Victoire de la musique en 2005 (révélation lyrique de l'année).

 
Amel Brahim-Djelloul, soprano
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Née en 1975 à Alger, Amel Brahim-Djelloul a connu le monde musical dès sa plus tendre enfance. Elle commence par le violon au Conservatoire d'Alger puis à l'Institut National de Musique d'Alger. Ce n'est qu'en 1995 qu'elle débute le chant dans la classe d'Abdelhamid Belferouni. En 1997, elle obtient avec brio sa licence d'enseignement en Musique de l'ENS d'Alger et enseigne la musique dans un lycée pendant une année.
Elle poursuit en 1998 ses études de chant auprès de Frantz Petri à l'ENM de Montreuil. Elle obtient dès sa première année la médaille d'or à l'unanimité. L'année suivante, elle entre au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) dans la classe de chant de Peggy Bouveret. Elle y suit également les cours de répertoire baroque d'Emmanuelle Haïm et de Benoît Hartoin. Elle passe son prix de chant au mois de Juin et obtient la mention Très Bien à l'unanimité et avec les félicitations de jury. Parallèlement, elle suit les masterclasses de Noëlle Barker, Lorraine Nubar et Martin Isepp.
Elle travaille depuis deux années avec la pianiste Anne-Céline Barrère avec qui elle donne des récitals à Paris (Cycles de Debussy, Dvorak, Poulenc, Schubert, Shumann, Wolf).
En 2000/2001, dans un projet de Radio France et de la Radio Algérienne, elle chante au Théâtre National Algérien (Alger), accompagnée de Claude Lavoix, des oeuvres du compositeur oublié Francisco Salvador-Daniel et diffusées sur France Culture. La même année, elle interprète à Paris des chants scandinaves de Grieg, des cantates de J.-S. Bach ainsi que la Petite Messe Solennelle de G. Rossini.
En 2001/2002, au CNSMDP, elle a interprété les rôles de Pamina dans "La flûte enchantée" de W. A. Mozart dirigée par Alain Altinoglu et mise en scène par Lukas Hemleb et de Dido dans "Dido et Aeneas" de H. Purcell sous la direction de Stephen Stubbs. Elle a aussi de nouveau chanté dans la "Petite Messe Solennelle" de G. Rossini à l'Église des Billettes à Paris et au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines.
De plus, elle a interprété au Festival International des Musiques d'aujourd'hui à Strasbourg et à la MC93-Bobigny le rôle de la Soeur dans le video-opéra d'Elisabeth Lennard et Marc-Olivier Dupin, "Accents en Alsace".
Au cours de la saison 2002/2003, elle a chanté dans l'Opéra "The Fairy Queen" de H. Purcell dirigé par Richard Egarr et mis en scène par Ludovic Lagarde au CNSMDP ainsi qu'à l'Opéra de Rouen. Elle donne également en récital à Paris et à Gigean, des cycles de lieder et mélodies de Poulenc, Duparc, Schubert et Schumann.
Au mois de juillet 2003, elle suit, dans le cadre de l'Académie Européenne de Musique du Festival International d'Art Lyrique d'Aix-en-Provence, les mastercalsses de Jean-Paul Fouchécourt, Margaret Honig et Thomas Hampson. Elle participera également à la session «Perti et la musique à Bologne au XVIIe S.» dirigée par Gérard Lesne, Bruno Cocset et Laurent Stewart à l'Abbaye de Royaumont.
Durant la saison 2003/2004, elle a chanté des "Grands Motets" de Lully sous la direction d'Olivier Schneebeli. Cette coproduction des Pages et Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles et de l'Ensemble Musica Florea de Prague s'est accompagnée de la sortie d'un disque pour le label "EMI-Virgin Classics".
On l'a également entendue dans Pamina dans "La Flûte enchantée", toujours sous la direction d'Alain Altinoglu, et dans une production de l'Orchestre National d'Ile de France ainsi que dans Sesto dans Giulio Cesare de Sartorio au Innsbrucker festwochen der Alten Musik.
Elle vient de remporter un grand succès dans la nouvelle production de «Couronnement de Poppée» (Amore et Valetto) sous la direction de René Jacobs au Théâtre des Champs-Elysées.
Amel Brahim-Djelloul fera ses débuts au Festival d'Aix-en-Provence dans le rôle de Servilia dans une nouvelle production de Clemenza di Titus en Juillet 2005 et on l'entendra également prochainement en tournée dans le monde avec le "Jardin des Voix" sous la direction de William Christie en Mars 2005. Elle apparaîtra également dans "Nozze di Figaro" à Vichy, dans une nouvelle production de Venus et Adonis dirigée par Christophe Rousset à l'opéra de Nancy et dans une nouvelle production de" Pelléas et Mélisande" au Théâtre des Champs-Elysées sous la direction de Bernard Haitink. Au cours de la saison 2005-2006, elle reprendra également la production de "Incoronazione di Poppea" de David Mc Vicar au Deutsche Staatsoper de Berlin et au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles.

 
Gautier Capuçon, violoncelliste
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«Nouveau Talent de l'année» aux Victoires de la musique 2001, Gautier Capuçon, né en 1981 à Chambéry commence le violoncelle à 5 ans et le piano à 7 ans et obtient en 1995 un Premier Prix de violoncelle et l'année suivante, un premier prix de piano.
En 1997, Conservatoire Supérieur de Paris (CNR), classe d'Annie Cochet-Zakine, Premier Prix de violoncelle. En 2000, Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (CNSMP), classe de Philippe Muller, Prix violoncelle et musique de chambre (mention Très Bien à l'unanimité). Depuis il suit à Vienne les masterclasses d'Heinrich Schiff.
En 1998, Gautier Capuçon reçoit le Premier Prix de l'Académie Internationale de Musique M. Ravel de Saint-Jean-de-Luz, en 1999 le 2° Prix au Concours International de violoncelle de Christchurch en Nouvelle-Zélande (concerto de Dvorak) et le Premier Grand Prix du Concours International André Navarra à Toulouse grâce auquel il obtient des concerts en Allemagne, Angleterre, Autriche et France.
Parallèlement, en 1997 et 1998, Gautier Capuçon parfait son expérience d'orchestre au sein de l'Orchestre des Jeunes de la Communauté Européenne avec Bernard Haitink, puis du Gustav Mahler Jugendorchester avec Kent Nagano, Daniele Gatti, Pierre Boulez, Seiji Ozawa et Claudio Abbado avec lequel il effectue deux tournées européennes. Gautier Capuçon est soliste d'orchestres prestigieux : Cannes, Bordeaux, Lille, Monte-Carlo, Strasbourg, Toulouse, Belgrade, Jérusalem, Liège, Malmö, les orchestres de Chambre de Vienne et de Zurich, le Gustav Mahler Jugendorchester, le Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin, l'Orchestre Tchaikovski de la Radio de Moscou et Vladimir Fedosseyev, le Malmö Symphony Orchestra et J. Lopez Cobos, l'Orchestre Santa-Cecilia de Rome, l'Ensemble Orchestral de Paris, le Houston Symphony. En avril 2001, il est en tournée avec le Chamber Orchestra of Europe et Myung-Whun Chung. En novembre 2002 il fait ses débuts avec l'Orchestre de Paris dirigé par Christoph Eschenbach. En 2004/05 il fait ses débuts avec l'orchestre de la Bayerische Rundfunk et l'Orchestre Philharmonique de Radio France.
Il est invité par les Festivals de Divonne, Menton, St-Denis, Strasbourg, La Roque d'Anthéron, Musique en Côte Basque, les Folles Journées de Nantes, Berlin (sur l'invitation de Claudio Abbado), Jerusalem, Lockenhaus, Rheingau, Edimbourg, Stresa, Spoleto, San Sebastian (avec l'orchestre de la WDR et Semyon Kychkov), Davos, Verbier, Lucerne et le Festival Martha Argerich à Lugano.
Passionné de musique de chambre, il a pour partenaires son frère Renaud, Martha Argerich, Daniel Barenboïm, Yuri Bashmet, Frank Braley, Gérard Caussé, Myung Whun Chung, Michel Dalberto, Hélène Grimaud, Paul Gulda, Stephen Kovacevich, Paul Meyer, Mikhail Pletnev, Vadim Repin, Pascal Rogé, Jean-Yves Thibaudet, Maxim Vengerov, Lilya Zilberstein, Nikolaj Znaider, Sarah Chang, les quatuors Castagneri et Ysaÿe.
Artiste exclusif Virgin Classics, il a enregistré la musique de chambre de Ravel avec son frère Renaud et Frank Braley, un récital de duos avec son frère, les concertos de Haydn avec le Mahler Chamber Orchestra dirigé par Daniel Harding («Diapason d'Or» et «Choc» du Monde de la musique), la musique de chambre de Saint-Saëns, dont le Carnaval des Animaux, La Truite de Schubert et les trios de Brahms avec Renaud Capuçon et Nicholas Angelich (Preis der deutshen Schallplattenkritik...). Chez EMI : les Trios de Haydn et Mendelssohn avec Martha Argerich et Renaud Capuçon.
Gautier Capuçon est lauréat de la Fondation d'entreprise Natexis Banques Populaires et d'une bourse Lavoisier du Ministère des Affaires Etrangères pour l'année 2001/02. Il est lauréat pour l'année 2004 du Borletti-Buitoni Trust. Il joue un Matteo Goffriler de 1701 et un violoncelle de Joseph Contreras de 1746 prêté par la BSI.

 
François-René Duchable, pianiste
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François-René Duchable a obtenu en 1965 son premier prix de piano au Conservatoire National de Paris, où il a poursuivi une formation musicale complète. En 1968, il est lauréat du Concours Reine Elizabeth de Belgique. En 1973, il est remarqué par Arthur Rubinstein qui lui prodigue de précieux encouragements. C'est grâce à lui qu'il choisira définitivement la carrière d'interprète et obtiendra ses premiers engagements internationaux. Dès lors, il effectue de nombreuses tournées en France, en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et au Japon, et se produit dans de prestigieux festivals (Salzbourg, Lucerne, Berlin, La Roque d'Anthéron, Prom's de Londres, Lockenhaus, Festival des Flandres etc).
François-René Duchable est invité par les grandes formations : l'Orchestre de Paris, l'Orchestre National de France, le Philharmonique de Radio France, le London Philharmonic,le Philharmonique de Berlin, la Deutsches Symphonie Orchester Berlin, l'Orchestre de la Suisse Romande, le Montreal Symphony (avec lequel il effectue une tournée en Allemagne en 1999), l'Orchestre du Maggio Musicale de Florence, le Rotterdam Philharmonic, dirigés par Karajan, Sawallisch, Dutoit, Jordan, Gardiner, Janowski, von Dohnanyi, Conlon, Guschlbauer, Herreweghe, I.Fischer, C.P.Flor, L.Foster, Leitner, Lombard, Maazel, J.Nelson, Plasson, Semkov, Svetlanov, Temirkanov, Thielemann, Welser-Moest...
François-René Duchable joue en musique de chambre avec le clarinettiste Paul Meyer, l'altiste Gérard Caussé et le violoncelliste Boris Pergamenschikow. D'autre part, il a créé avec le comédien Alain Carré différents spectacles associant musique et littérature.
Son importante discographie a été couronnée par de nombreux prix : Etudes de Chopin (Grand Prix de l'Académie Charles Cros), Intégrale concertante de Poulenc (Grand Prix de l'Académie de Disque Français), Transcriptions et Paraphrases de Liszt (Grand Prix de l'Académie Charles Cros et RTL d'Or), Sonates de Beethoven (Choc de la Musique et Diapason d'Or), Concertos de Ravel et Debussy (Choc de la Musique). Dernières parutions chez EMI : les concertos de Chopin avec l'Orchestre de Toulouse et Michel Plasson, les Douze Etudes d'exécution transcendante de Liszt et la Transcription du Concerto pour violon et le Concerto pour piano N°2 de Beethoven avec le Sinfonia Varsovia dirigé par Lord Yehudi Menuhin. Il vient de gravé l'intégrale des Concertos pour piano de Beethoven (en CD et DVD) avec l'Ensemble Orchestral de Paris et John Nelson.
«Les Victoires de la Musique» le nomme en 1996 Soliste Instrumental de l'Année et en 1997 elles lui décernent deux récompenses : de nouveau Soliste Instrumental de l'Année et Meilleur Enregistrement de Musique Classique Français. En février 1999 une fois de plus il est nommé Soliste Instrumental de l'Année.

 
Thérèse Waldner, soprano
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Née à Wileza, en Pologne, Thérèse Waldner fait ses études à l'Académie de Musique Fr. Chopin à Varsovie (1981-1985), où elle débute dans le rôle de "Lady Billows" / «Albert Herring» (Britten).
De 1985 à 1991 elle est soliste à Varsovie et de 1992 à 1995 à Bremen, en Allemagne.
La soprano est lauréate des concours «Madama Butterfly», (Miami, Floride 1990) et «Belvedere» (Vienne 1991).
Des engagements la conduisent en Allemagne, Malte, Italie, Espagne, Russie, Brésil, Japon.
En 1991, Thérèse Waldner reçoit le titre «Ambassadrice de la culture polonaise», accordé par le Ministère des Affaires Etrangères polonais.
Elle est invitée plusieurs fois à Puerto Rico, pour interpréter 'Amelia' / «Simon Boccanegra» (1996), 'Leonora' / «Il Trovatore» (1997) et «Tosca» (1999).
Entre 1995 et 1998, l'artiste est membre de la troupe du Badisches Staatstheater Karlsruhe.
À partir de la saison 1998 / 1999, elle devient première soprano à Deutsche Oper am Rhein Düsseldorf, ou l'on peut écouter dans les meilleurs rôles de son répertoire: "Aida", "Tosca", "Leonora" / «Il Trovatore», "Madama Butterfly", "Desdemona", "Donna Anna", "Contessa" / «Le nozze di Figaro», "Jenufa", "Elisabeth" / «Tannhäuser», "Lady Macbeth" / « Macbeth », "Giorgetta", "Suor Angelica", etc...
En 2003 Therese Waldner fait son début à a Scala de Milan avec "Leonora" / « Fidelio », sous la baguette de R. Muti, qu'elle reprend la même année au Maggio Musicale Fiorentino.
L'artiste apparaît la première fois à l'Opéra Royal de Wallonie Liège en janvier 2005, dans le rôle de "Leonora" / «La forza del destino».

 

Toutes les informations sur le site : www.violonsurlesable.com

 

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