° 01/05/1917 ; Bordeaux - † 17/10/2017 ; Bois-le-Roi
Vingt ans avant Brigitte Bardot, la comédienne Danielle Darrieux impose ses initiales : DD.
Au cours d'une des plus longues carrières cinématographiques, 110 films sur huit décennies, elle a traversé l'histoire du cinéma parlant de 1931 à 2010.
Vingt ans avant Brigitte Bardot, la comédienne Danielle Darrieux impose ses initiales : DD.
Au cours d'une des plus longues carrières cinématographiques, 110 films sur huit décennies, elle a traversé l'histoire du cinéma parlant de 1931 à 2010.
Danielle Darrieux n'a jamais tourné de film à Royan, mais connaît très bien la région puisque sa mère possédait à Saint-Palais, une villa Horizon Chimérique, rue de la Concorde.
Danielle Darrieux, mémoire du cinéma français, a été l'icône de plusieurs générationsde spectateurs. Jeune fille espiègle et romantique des années 30, elle sera l'incarnation du charme et de la féminité française de l'après-guerre aux années 60, avant de devenir une guest-star incontournable des écrans, tout en poursuivant une riche carrière théâtrale.
Sa longévité contraste avec sa discrétion médiatique et mondaine, présidente de cérémonies et festivals mais quasiment retirée des écrans depuis 1975.
C'est surtout son époux Henri Decoin qui contribuera à faire d'elle la première star française dans des comédies où Danielle Darrieux peaufine son image de jeune fille moderne et espiègle, de Retour à l'aube (1938) à Premier rendez-vous (1941). Elle tourne ensuite avec les plus grands cinéastes : Marcel L'Herbier, Claude Autant-Lara, Julien Duvivier, et surtout Max Ophuls qui va faire d'elle l'une des actrices les plus prestigieuses du cinéma. Même Hollywood la sollicite à plusieurs reprises et notamment le grand Joseph L. Mankiewicz.
Les années 60 et la Nouvelle Vague ne la néglige pas : Claude Chabrol et Jacques Demy ; dans Les Demoiselles de Rochefort, elle est la seule à chanter sans doublage.
La carrière de l'actrice s'est poursuivie après 1995 : André Téchiné, François Ozon ou Anne Fontaine.
Sa longévité contraste avec sa discrétion médiatique et mondaine, présidente de cérémonies et festivals mais quasiment retirée des écrans depuis 1975.
C'est surtout son époux Henri Decoin qui contribuera à faire d'elle la première star française dans des comédies où Danielle Darrieux peaufine son image de jeune fille moderne et espiègle, de Retour à l'aube (1938) à Premier rendez-vous (1941). Elle tourne ensuite avec les plus grands cinéastes : Marcel L'Herbier, Claude Autant-Lara, Julien Duvivier, et surtout Max Ophuls qui va faire d'elle l'une des actrices les plus prestigieuses du cinéma. Même Hollywood la sollicite à plusieurs reprises et notamment le grand Joseph L. Mankiewicz.
Les années 60 et la Nouvelle Vague ne la néglige pas : Claude Chabrol et Jacques Demy ; dans Les Demoiselles de Rochefort, elle est la seule à chanter sans doublage.
La carrière de l'actrice s'est poursuivie après 1995 : André Téchiné, François Ozon ou Anne Fontaine.

Danielle Darrieux passe régulièrement ses vacances avec son mari, l'auteur-metteur en scène Henri Decoin dans sa villa Rol-Mic, achetée en 1937, d'où l'on domine la plage de de Nauzan. Ils la baptisent Honey Moon. Des fêtes mémorables réunissent les amis du cinéma du monde entier autour du couple, se baignant sur la plage de Nauzan, en n'oubliant pas les parties de volley-ball. Danielle Darrieux divorçe d'Henri Decoin en 1941 et vend la maison le 8 juillet 1949.
Danielle Darrieux, "Monument du cinéma français" restera à la fois la star de l'âge d'or du septième art et une référence aussi bien pour le public populaire que la cinéphilie internationale.