° 1921 ; Amiens
† 1997 ; Royan
Né en en Picardie, dans une famille bourgeoise, il rejoint Paris pour y suivre ses études et sort diplômé de l'École nationale des beaux-arts et de l'École spéciale d'architecture, en 1946. Il y rencontre Yolande Gros, royannaise, fille des châtelains de Mons et Belmont. C'est donc naturellement qu'ils viennent s'installer dans la cité balnéaire et que l'architecte y ouvre son agence. Il y fait la connaissance des architectes de la Reconstruction et prend part au vaste chantier urbain. Outre sa participation à quelques réalisations publiques, Marc Quentin réalise une pléiade de villas individuelles dont « la Mainaz ».
En 1958, il devient architecte de la ville de Rochefort en succédant à René Lavoine. Il participera à la plupart des grands projets municipaux du moment : des écoles, l'hôpital et sa chapelle, la gare routière, ou encore l'église Saint-Paul. Il est qualifié d'architecte minimaliste (suivant le principe de l'économie maximale des moyens), s'inscrivant dans la lignée des modernistes du moment. Après une carrière très féconde, il décède en 1997.
† 1997 ; Royan
Né en en Picardie, dans une famille bourgeoise, il rejoint Paris pour y suivre ses études et sort diplômé de l'École nationale des beaux-arts et de l'École spéciale d'architecture, en 1946. Il y rencontre Yolande Gros, royannaise, fille des châtelains de Mons et Belmont. C'est donc naturellement qu'ils viennent s'installer dans la cité balnéaire et que l'architecte y ouvre son agence. Il y fait la connaissance des architectes de la Reconstruction et prend part au vaste chantier urbain. Outre sa participation à quelques réalisations publiques, Marc Quentin réalise une pléiade de villas individuelles dont « la Mainaz ».
En 1958, il devient architecte de la ville de Rochefort en succédant à René Lavoine. Il participera à la plupart des grands projets municipaux du moment : des écoles, l'hôpital et sa chapelle, la gare routière, ou encore l'église Saint-Paul. Il est qualifié d'architecte minimaliste (suivant le principe de l'économie maximale des moyens), s'inscrivant dans la lignée des modernistes du moment. Après une carrière très féconde, il décède en 1997.
Source : Guide architectural Royan 1950 d'Antoine-Marie Préaut, éd. Bonne Anse 2012