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Office de tourisme communautaire Royan Atlantique - © Royan Atlantique

Église Notre Dame Reportage J.P. Dumont

Le maire de Royan Max Brusset confie en 1954 le projet de l'église Notre-Dame à Guillaume Gillet avec ses mots : "Je veux que Royan ne soit pas une ville couchée mais une ville debout. Redressez-la par la silhouette de l'église". Le bâtiment, inspiré par l'ingénieur Bernard Laffaille et son successeur René Sarget, est livré en 1958. Chargé par Guillaume Gillet de relever chaque phase du chantier, le photographe Jean-Pierre Dumont a livré un reportage en images. Les photos ci-dessous proviennent de ce travail.
Crédits du visuel : photo A.M. Préaut
Église Notre-Dame
Guide architectural 1950
Visuel : D.R.
Notre-Dame, le chantier (1955-1958)
Expo «  Notre-Dame, le symbole de Royan  »
Visuel : D.R.
Notre-Dame de Royan
Rose Gillet
Visuel : D.R.
Notre-Dame et les églises de Royan
Frédéric Chassebœuf
G. Gillet et B. Laffaille optent pour une ossature de poteaux en béton armé en forme de V. On voit ici le premier élément de cette structure. / Visuel : D.R.
G. Gillet et B. Laffaille optent pour une ossature de poteaux en béton armé en forme de V. On voit ici le premier élément de cette structure.
Le principe des V a été appliqué pour la première fois par B. Laffaille dans le programme de l'église Notre Dame de France à Bizerte. / Visuel : D.R.
Le principe des V a été appliqué pour la première fois par B. Laffaille dans le programme de l'église Notre Dame de France à Bizerte.
Le chantier ouvre en juin 1955, alors que les dimensions définitives de l'église ne sont pas arrêtées. / Visuel : D.R.
Le chantier ouvre en juin 1955, alors que les dimensions définitives de l'église ne sont pas arrêtées.
Situé sur un terrain qui forme un losange irrégulier, l'église présente un plan en ellipse. / Visuel : D.R.
Situé sur un terrain qui forme un losange irrégulier, l'église présente un plan en ellipse.
Après le décès de B.Laffaille en 1955, l'ingénieur R. Sarger lui succède. Il ajoute les bas-côtés obliques qui ceinturent l'édifice au pied des V porteurs. / Visuel : D.R.
Après le décès de B.Laffaille en 1955, l'ingénieur R. Sarger lui succède. Il ajoute les bas-côtés obliques qui ceinturent l'édifice au pied des V porteurs.
Au premier plan, les aciers et la grave utilisée pour le béton dont la fissuration nécessitera un programme de restauration. / Visuel : D.R.
Au premier plan, les aciers et la grave utilisée pour le béton dont la fissuration nécessitera un programme de restauration.
Les poteaux hérissés des armatures acier dont la corrosion fera éclater le béton, notamment au droit des arêtes des piliers. / Visuel : D.R.
Les poteaux hérissés des armatures acier dont la corrosion fera éclater le béton, notamment au droit des arêtes des piliers.
L'ossature est composée de 24 V d'une épaisseur de 10 à 12 cm. / Visuel : D.R.
L'ossature est composée de 24 V d'une épaisseur de 10 à 12 cm.
L'entrée et l'escalier principal côté clocher. / Visuel : D.R.
L'entrée et l'escalier principal côté clocher.
Quatre escaliers extérieurs desservent les parties hautes, coursives et tribunes d'orgue. / Visuel : D.R.
Quatre escaliers extérieurs desservent les parties hautes, coursives et tribunes d'orgue.
La stabilité des V est renforcée par un contrefort oblique. / Visuel : D.R.
La stabilité des V est renforcée par un contrefort oblique.
Contreforts et escalier extérieur. / Visuel : D.R.
Contreforts et escalier extérieur.
Visite de chantier par l'architecte. / Visuel : D.R.
Visite de chantier par l'architecte.
La croix à l'emplacement du chœur / Visuel : D.R.
La croix à l'emplacement du chœur
Les poteaux en V Laffaille s'élèvent à Royan à 36 m et jusqu'à 56 m pour le clocher. / Visuel : D.R.
Les poteaux en V Laffaille s'élèvent à Royan à 36 m et jusqu'à 56 m pour le clocher.
En élevant les poteaux à cette hauteur, les architectes renouent avec la tradition gothique de la quête de la lumière. / Visuel : D.R.
En élevant les poteaux à cette hauteur, les architectes renouent avec la tradition gothique de la quête de la lumière.
Les piliers sont liaisonnés par la ceinture supérieure et les coursives intermédiaires. / Visuel : D.R.
Les piliers sont liaisonnés par la ceinture supérieure et les coursives intermédiaires.
Côté ouest, le triangle du chœur où sera installé le vitrail de la Vierge de Claude Idoux / Visuel : D.R.
Côté ouest, le triangle du chœur où sera installé le vitrail de la Vierge de Claude Idoux
Le déambulatoire périphérique surplombé par les contreforts obliques qui forment couverture. / Visuel : D.R.
Le déambulatoire périphérique surplombé par les contreforts obliques qui forment couverture.
Vue plongeante sur le chantier et les coursives qui relient les poteaux en V. / Visuel : D.R.
Vue plongeante sur le chantier et les coursives qui relient les poteaux en V.
Le clocher en cours de construction est constitué de trois voiles en V. / Visuel : D.R.
Le clocher en cours de construction est constitué de trois voiles en V.
En couverture, le voile mince en fer à cheval appuyé sur un anneau périphérique en béton armé. / Visuel : D.R.
En couverture, le voile mince en fer à cheval appuyé sur un anneau périphérique en béton armé.
Fin des travaux. Les bâtisseurs au sommet du clocher. / Visuel : D.R.
Fin des travaux. Les bâtisseurs au sommet du clocher.
La ville redressée par la silhouette de l'église. / Visuel : D.R.
La ville redressée par la silhouette de l'église.